



Chaque plume de cette série est imprégnée d’une image, d’un souvenir qui s’oppose à sa légèreté inhérente. La plume est marquée d’une photographie, comme un vestige d’une mémoire dont on se défait. C’est la seule trace qui reste et elle est fragile, susceptible de se volatiliser. La plume est aussi associée à l’écriture, la poésie, elle est un outil pour rendre tangibles ses pensées, les coucher sur le papier, communiquer, inventer de nouvelles histoires.
La série est encore en évolution et de courts textes oniriques viendront sans doute accompagner les images que les plumes transportent.





J’ai eu le plaisir d’exposer cette série lors du festival Les Photographiques, au Mans
